Avec l’arrivée des mois de printemps, des patients se rendent à l’ophtalmologiste en croyant qu’ils sont atteints d’une allergie oculaire. Néanmoins, dans certains cas, plusieurs causes sont à l’origine des symptômes.
La pollution dans les grandes villes, liée au pollen qui apparaît avec les changements saisonniers qu’entraîne le printemps, peut causer des problèmes aux yeux et au voies respiratoires chez certaines personnes qui, face à ces éléments, peuvent connaître des réactions inflammatoires irritant les muqueuses, telles que la conjonctive.
Cet état d’inflammation des yeux risque de décompenser d’autres troubles, tels que la sécheresse oculaire. Les personnes qui étaient déjà atteintes d’œil sec peuvent subir une aggravation de son état oculaire pendant le printemps. Les personnes qui sont habituées à subir de sécheresse oculaire peuvent connaître des troubles pendant le clignotement, et elles peuvent même avoir les yeux larmoyants, ce qui peut les induire en erreur.
Les particules de pollution et pollen peuvent causer des effets inflammatoires aux patients atteints d’œil sec, ce qui ajoute aux effets qu’ils subissent déjà à cause de la sécheresse oculaire.
La meilleure façon d’éviter cette décompensation est de se protéger les yeux et d’utiliser des larmes artificielles afin de lubrifier et nettoyer la surface oculaire.
En outre, il est recommandé de se rendre à l’ophtalmologiste pendant le printemps quand on est atteints de sécheresse oculaire symptomatique ou on a tendance aux réactions allergiques, afin de mettre en œuvre les mesures nécessaires afin d’éviter une décompensation qui puisse aggraver les troubles.
Écrivez-nous ou prenez rendez-vous pour une consultation avec nos spécialistes.